
Programme intégré
36452525056 - Session 25.001
A partir du 20 novembre 2025
De nombreuses coloscopies sont réalisées en France, soit dans le cadre de programmes organisés de dépistage du cancer colorectal basés sur des tests immunochimiques fécaux (FIT), soit en tant que procédures de dépistage primaire. Au cours de ce processus, on découvre des polypes minuscules accidentels qui n'expliquent pas le test FIT positif et qui peuvent ne pas affecter de manière significative le risque de cancer.
Le manque de praticiens ayant la capacité de caractériser précisément une lésion entraîne un nombre important de prise en charge non optimales, et un grand nombre d’évaluations histopathologiques pour les très petits polypes réséqués alors que leur nature peut être prédite endoscopiquement.
La stratégie de résection et d'élimination constitue une alternative à l'histopathologie classique pour les petits polypes qui sont le type le plus courant retrouvé lors de la coloscopie. L’analyse microscopique de ces polypes, qui présentent intrinsèquement un faible risque d’héberger une pathologie avancée, est très coûteuse. En conséquence, le diagnostic optique en temps réel avec chromoendoscopie virtuelle (avec ou sans IA) présente un potentiel d’économies important pour le dépistage et la surveillance quotidiens du cancer colorectal. Ces évaluations histopathologiques induisent également des risques pour le personnel (produit chimique), ou encore des dégâts écologiques (0.50 Kg CO2 eq par prélèvement).
Évidemment, différencier correctement un adénome d'un polype hyperplasique est crucial pour mettre en œuvre cette stratégie et évaluer l'intervalle de surveillance approprié. Plus de 10 ans se sont écoulés depuis que la faisabilité et la rentabilité possible d'une stratégie de résection et d'élimination ont été démontrées pour la première fois et suggérées pour être prêtes aux heures de grande écoute. Les récentes lignes directrices de la Société européenne d'endoscopie gastro-intestinale (ESGE) concernant les techniques d'imagerie avancées ont intégré cette stratégie comme une option valable pour remplacer l'histologie dans des conditions strictes d'utilisation d'échelles validées, de formation et d'évaluation de la pratique. Les techniques d’imagerie avancées comme l’imagerie à bande étroite (NBI) et la chromoendoscopie classique existent depuis plus de 15 ans maintenant, tout comme les différentes échelles de classifications des polypes qui montrent une précision diagnostique élevée.
Il est donc important de s’assurer de la pertinence des décisions prises lors des examens endoscopiques et surtout de la qualité de ces examens, qui sont les garant d’une prévention efficace.
Le but de cette session de FMC dans le cadre du DPC est de présenter toutes les étapes indispensables pour optimiser les résultats des endoscopies en s’appuyant sur
I) les recommandations de bonnes pratique nationales et internationales et
II) des exemples pré-enregistrés pratiques nécessaires pour expliquer quelles images doivent être recherchées, et habituer l’œil des enseignés à la reconnaissance d’images parfois subtiles.
A la fin de la formation, l’apprenant sera capable de :
- Connaître les critères de qualité d’une endoscopie diagnostique basse.
- Caractériser et classifier les images endoscopiques complexes.
- Evaluer et améliorer ses pratiques et ses décisions thérapeutiques : quelle attitude adopter en fonction du type de lésions bénignes, pré-cancéreuses ou cancéreuse identifiée : biopsie, résection, chirurgie.
Unité 1
- Typologie : Formation continue
- Méthode : Formation continue
- Présentiel
- Nombre de journée(s) : 1
- Nombre d’heure(s) présentielle(s) : 3
Unité 2
- Typologie : Evaluation des pratiques professionnelles
- Méthode : Suivi d’indicateurs de qualité et de sécurité des soins
- Non présentiel
- Nombre d'heure(s) connectée(s) : 1
- Nombre d'heure(s) non-connectée(s) : 3
Unité 3
- Typologie : Evaluation des pratiques professionnelles
- Méthode : Suivi d’indicateurs de qualité et de sécurité des soins
- Non présentiel
- Nombre d'heure(s) non-connectée(s) : 1

FMC présentielle & TCS en ligne
36452525055 - Session 25.001
A partir du 20 novembre 2025
Les examens par capsule endoscopique de l’intestin grêle sont une référence en termes de diagnostic pour l’intestin grêle depuis les années 2000, dans des indications comme l’anémie inexpliquée, les saignements digestifs inexpliqués, les maladies inflammatoires de l’intestin, et certaines pathologies génétiques comme la maladie de Peutz Jeghers. Chaque année en France, près de 24 000 capsules endoscopiques de l’intestin grêle et du côlon sont réalisées, par les nombreux centres équipés, compte tenu de l’importance clinique de cette technologie. Certains centres, experts, font plus de 200 capsules par an mais une majorité de centres réalisent cet examen moins de 50 fois par an, ce qui nécessite une formation régulière aux indications, contre-indications, risques et à l’interprétation des images. La SFED réalise de façon régulière des formations sur la capsule du grêle et du côlon, beaucoup moins depuis 2020 et la période COVID. Il est donc encore nécessaire de compléter la formation des médecins pratiquant la capsule endoscopique, et la formation réalisée par la SFED sur cette session présentielle est particulièrement appréciée depuis plusieurs années avec des retours très positifs des participants. Elle a pour objectif i) d’apporter des éléments scientifiques novateurs comme l’évaluation de l’intelligence artificielle et ii) de maintenir à jour les compétences très pratiques concernant l’utilisation de ces examens non invasifs. Le sujet de cette année va s’orienter sur la qualité des pratiques, la qualité de l’interprétation d’un examen, les images les plus importantes à ne pas manquer. IL sera construit autour d’exemples tirés de la pratique des experts permettant d’illustrer les erreurs d’interprétation, les erreurs de diagnostic, les erreurs possibles de choix des examens complémentaires comme l’entéroscopie. En effet, un mauvais choix d’examen complémentaire entraine des risques pour les patients (complications, perforations, hémorragie).
Les recommandations les plus récentes (dont celles de l’ESGE, société européenne de gastroentérologie, en 2022) resteront notre point d’ancrage scientifique.
- Connaitre les pièges diagnostics, les artefacts d’interprétation, les erreurs de localisation qui peuvent être responsable d’une perte de chance pour les patients.
- Connaitre le type d’images qu’un lecteur de capsule ne doit pas manquer au cours d’un examen, connaitre leur fréquence et la place de l’IA dans leur diagnostic.
- Connaitre la pertinence des images vasculaires en capsule, savoir juger de leur responsabilité clinique potentielle dans une anémie ou une hémorragie.
- Connaitre les bonnes indications d’entéroscopie ou d’autres explorations du grêle invasives.
- Discuter des possibilités alternatives d’examen par capsule en ambulatoire, voire strictement à domicile.
Unité 1
- Typologie : Formation continue
- Méthode : Formation continue
- Présentiel
- Nombre d’heure(s) présentielle(s) : 3
Unité 2
- Typologie : Evaluation des pratiques professionnelles
- Méthode : Test de concordance de script (TCS)
- Non présentiel
- Nombre d'heure(s) connectée(s) : 1
Unité 3
- Typologie : Evaluation des pratiques professionnelles
- Méthode : Test de concordance de script (TCS)
- Classe virtuelle
- Nombre d'heures classe virtuelle : 1

Présentiel - NANTES
Action 36452525047 - Session 25.003
Le 7 Novembre 2025
Les Hépato gastroentérologues ont la lourde tâche de réaliser le dépistage des cancers digestifs et le traitement des cancers digestifs précoces en utilisant différentes méthodes d’endoscopie digestive. .(IARC 2003-2013, INCA 2023) Ce processus d’endoscopie de diagnostic est très courant. Par exemple 1400000 coloscopies sont réalisées de façon annuelle dans cet objectif. L’étape fondamentale est la reconnaissance de ces cancers et/ou des pré-cancers lors d’un examen soigneux de la muqueuse du tube digestif, et cela à plusieurs niveaux : œsophage, en muqueuse épidermoïde et en muqueuse de Barret, estomac, duodénum, côlon. Chaque localisation de cancer digestif nécessite une connaissance de l’épidémiologie de ces lésions (en particulier leur fréquence en fonction du terrain) et de la manière dont ces lésions doivent être recherchées, en incluant différents artifices dont les endoscopes disposent : chromoscopie réelle, virtuelle, grossissement par zoom, définition augmentée. Les images générées par endoscopie sont donc extrêmement variées, et nécessitent une formation poussée et complexe que seule une grande habitude associée à une formation initiale de qualité permet de réaliser. Ces méthodes sont très évolutives, de nouvelles images sont générées tous les 2 ou 3 ans, et une formation en continu est donc particulièrement importante et nécessaire. De plus, des terrains particuliers correspondant à des pathologies chroniques génétiques ou acquises complexifient le niveau de risque et certains aspects de ces lésions pré-cancéreuses. C’est en particulier le cas des polyposes génétiques et des maladies inflammatoires de l’intestin qui seront abordées lors de cette formation.
Les différents cancers que l’on peut dépister par l’endoscopie ont un impact en santé publique particulièrement important. Les cancers du côlon, de l’estomac, et de l’œsophage sont classés dans le monde en 3°, 4° et 8° position en termes d’incidence tous sexes confondus (IARC 2003-2013, INCA 2023). Le cancer colorectal touche une personne sur 20 en population générale et 100 % de certains syndromes de prédisposition génétiques s’il n’est pas prévenu par une chirurgie (polyposes adénomateuse). Contrairement aux cancers avancés dépistés sur symptômes, les cancers (ou pré-cancers) détectés en endoscopie sont curables dans plus de 90 % des cas.
Il est donc important de s’assurer de la pertinence des indications des examens endoscopiques et surtout de la qualité de ces examens qui est le garant d’une prévention efficace.
Le but de cette session de FMC dans le cadre du DPC est de présenter toutes les étapes indispensables pour optimiser les résultats des endoscopies en s’appuyant sur I) les recommandations de bonnes pratique nationales et internationales et II) des exemples pré-enregistrés pratiques nécessaires pour expliquer quelles images doivent être recherchées, et habituer l’œil des enseignés à la reconnaissance d’images parfois subtiles.
A la fin de la formation, l’apprenant sera capable de :
- Connaître les critères de qualité d’une endoscopie diagnostique de l’œsophage, de l’estomac, du duodénum et du côlon.
- Savoir caractériser et classifier les images endoscopiques complexes aux différents étages digestifs
- Savoir l’importance et les modalités d’utilisation des techniques de chromoscopie réelle et virtuelle, de zoom
- Connaitre les différents terrains prédisposants et la fréquence attendue des pré-cancers dans des sites spécifiques et sur des terrains à risques connus
- Savoir quelle attitude adopter en fonction du type de lésions pré-cancéreuses ou cancéreuse identifiée : biopsie, résection, chirurgie.
- Appréhender les apports potentiels de l’intelligence artificielle dans certaines situations particulières comme le côlon
Programme détaillé
! ATTENTION ! Les pré-inscriptions se déroulent UNIQUEMENT sur le site de la SFED :

Présentiel - MARSEILLE
Action 36452525038 - Session 25.009
Les 4 et 5 novembre 2025
Le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent chez l’homme, après ceux de la prostate et du poumon. Il représente 11,2 % de l’ensemble des nouveaux cas de cancers masculins. Chez la femme, ce cancer est le deuxième plus fréquent après le cancer du sein (11,3 % de l’ensemble des nouveaux cas de cancers féminins - Statistiques INCA 2023).
Ce cancer constitue la deuxième cause de décès par cancer en France. Il représente près de 12 % de l’ensemble des décès par cancer. Toutefois, la mortalité diminue régulièrement depuis 1980 grâce au déploiement du dépistage généralisé du cancer colorectal et à la résection des lésions précancéreuses, essentiellement des polypes, par coloscopie.
Ce dépistage organisé en population repose sur le test immunologique fécal (FIT) proposé entre 50 et 75 ans et en parallèle, ce test immunologique possède une sensibilité accrue, permettant une meilleure détection des cancers et des adénomes.Le dépistage est aussi assuré par la coloscopie pour tout sujet symptomatique ou ayant des facteurs de risques personnels ou familiaux de CCR.
Tous ces efforts de prévention n’ont pas entrainé la baisse attendue du nombre de CCR qui reste encore trop élevé. Les raisons sont multiples avec tout d’abord un relatif échec du dépistage généralisé par test fécal avec un taux de participation bien au-dessous du seuil d’efficacité, ce taux variant de 15 à 50 % selon les départements. Malgré un nombre de coloscopies réalisé chaque année en France d’environ 1,3 millions, toute indication confondue, il est évident que certains patients ne bénéficient pas de cet examen soit par négligence ou par réticence à le subir, soit par la raréfaction de l’offre de soins bien réelle dans certaines régions en raison de de la désertification médicale.
Il est donc important de s’assurer de la pertinence des indications des coloscopies et surtout de la qualité de ces examens qui est le garant d’une prévention efficace.
Des critères de qualité ont ainsi été définis par la SFED en 2019 pour améliorer la performance des examens endoscopiques réalisés par les gastro-entérologues avec notamment :
- La qualité de la préparation évaluée par l’utilisation de score ( le score de Boston est le plus utilisé)
- La visualisation de tout le colon documentée par une photo du bas fond caecal
- Le respect d’un temps d’examen minimum de 6 à 8 mn lors du retrait de l’endoscope,
- La détection des polypes évaluée par le TDA (taux de détection des adénomes) avec un taux moyen de 20 % pour des patients tout-venants et 50 % en cas de test fécal positif.
- La pertinence des indications en fonction des symptômes ou des antécédents intestinaux personnels ou familiaux de polypes ou cancer colo-rectal, et l’observance des recommandations pour les délais de contrôle post polypectomie ( reco HAS en 2013 et actualisées par la SFED en 2021)
- La résection des polypes coliques la plus complète possible, condition essentielle pour diminuer le risque de récidive ou de survenue d’un cancer d’intervalle.
Une étude récente (Pieter H. A. Wisse et al. Endoscopy 2024; 56(05): 373-375) portant sur plus de 11 000 coloscopies retrouve 2,4% de CCRI dont les 3/4 sont diagnostiqués lors du contrôle programmé, faisant supposé que l’origine est la non détection de polypes à haut risque (missed adenoma) ou une résection endoscopique incomplète. - La prise en compte du risque de complications, hémorragies ou perforations, en utilisant les méthodes endoscopiques préventives validées.
La préoccupation première est donc de la formation des médecins qui réalisent régulièrement ces endoscopies. Si la formation universitaire en endoscopie lors du parcours du DES en hépato-gastroentérologie est la base obligatoire, il faut insister sur le rôle majeur de la formation continue post-universitaire indispensable pour assurer et maintenir la compétence technique des médecins.
Le but de cette session de FMC dans le cadre du DPC est de présenter toutes les étapes indispensables pour optimiser les résultats des coloscopies en s’appuyant sur les recommandations en cours et de vérifier qu’elles sont appliquées dans la pratique quotidienne.
C’est à ces conditions que l’on pourra progressivement réduire l’incidence du CCR en France et diminuer encore sa mortalité globale.
Programme détaillé


! ATTENTION ! Il s'agit de pré-inscription : les places disponibles sont très limitées.
Le CEFA HGE devra confirmer votre inscription

Ce cours pour simplement faire des exercices et expérimentations
- Enseignant Editeur: Christian BOUSTIERE
- Enseignant Editeur: Enseignant Eticeo
- Enseignant Editeur: Test Gestionnaire
- Enseignant Editeur: NATHALIE SCHNEIDER
- Enseignant Editeur: youpi1 youp1
La pathologie hémorroïdaire est un motif de consultation fréquent aussi bien en médecine générale, qu’en gastroentérologie et en chirurgie. Il s’agit d’une pathologie le plus souvent bénigne mais la présentation clinique peut être parfois sévère impactant de manière significative la qualité de vie des patients. Ceci est particulièrement valable en cas de saignements récurrents ou abondants pouvant occasionner une anémie par carence martiale, en cas de polythromboses récidivantes hyperalgiques ou en cas de prolapsus permanent responsable d’une difficulté à l’essuyage. Son diagnostic positif repose sur les symptômes décrits par les patients mais également sur les données de l’examen proctologique. Les modalités thérapeutiques sont multiples et varient du traitement médical, au traitement médico-instrumental voire au traitement chirurgical. Récemment, le panel thérapeutique s’est enrichi de nouvelles techniques chirurgicales mini-invasives comme les ligatures sous contrôle Doppler avec mucopexie, la radiofréquence hémorroïdaire et l’hémorroïdoplastie laser. Ce mouvement vers le mini-invasif est venu répondre à une demande grandissante de la part des patients voire même des praticiens en alternative à l’hémorroïdectomie Milligan et Morgan, intervention chirurgicale radicale de référence responsable de suites longues et douloureuses. Du fait de la multiplicité des présentations cliniques et de l’élargissement du panel thérapeutique, la prise en charge pourrait paraître complexe surtout que les recommandations françaises de pratique clinique [Higuero T 2016] commencent à dater et n’abordent pas ces nouvelles options thérapeutiques.
Les objectifs généraux de cette formation sont de :
- Connaître toutes les nouvelles techniques chirurgicales de la pathologie hémorroïdaire et leurs places par rapport aux traitements médico-instrumentaux et la classique hémorroïdectomie Milligan et Morgan.
- Adapter la prise en charge à la situation du patient : type de plainte, données de l’examen proctologique et ses attentes tout en l’informant à chaque fois des modalités et suites de chaque proposition thérapeutique.
- Tenir compte de situations cliniques particulières comme les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, la grossesse, le post-partum, les troubles de la coagulation et/ou de l’hémostase acquis ou inné, la sexualité anale, etc.
A la fin de la formation, les apprenants seront capables de :
- Analyser les symptômes hémorroïdaires de chaque patient et différencier sur cette base ainsi que celle de l’examen clinique proctologique la pathologie hémorroïdaire interne de la pathologie hémorroïdaire externe.
- Organiser la prise en charge du patient selon le type de sa pathologie hémorroïdaire ainsi que ses attentes.
- Choisir la bonne option thérapeutique en tenant compte de toutes les nouvelles alternatives chirurgicales hémorroïdaires mini-invasives.
- Prévoir les suites de chaque geste et en informer le patient.
- Repérer les situations spécifiques comme les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, la grossesse, la prise d’anticoagulants et/ou d’antiagrégants, la sexualité anale, etc. et adapter en fonction de ces situations la prise en charge thérapeutique.
- Différencier la pathologie hémorroïdaire interne de la pathologie hémorroïdaire externe.
- Analyser les symptômes des patients, évaluer la sévérité de la pathologie hémorroïdaire en se basant sur le score de prolapsus de Goligher, le score de saignement de Paris et l’impact sur la qualité de vie.
- Connaître les différentes modalités du traitement de pathologie hémorroïdaire : du traitement médico-instrumental aux différentes techniques chirurgicales y compris mini-invasives les plus récentes.
- Planifier la prise charge du patient selon ses attentes et la sévérité de sa pathologie.
Méthode : selon la méthode HAS, les activités suivantes seront à réaliser pour évaluer les pratiques actuelles.
La formation proposée est mixte. Les unités non présentielles se déroulent sur la plateforme de formation du CEFA-HGE avec des outils de communication permettant d’échanger à tout moment entre les apprenants et avec l’enseignant. La formation est composée de 4 unités qui se déroulent les unes après les autres : une 1ère phase d’audit clinique pour évaluer les pratiques avant la formation, suivie par une FMC en Présentiel avec un apport de connaissances et de la méthodologie pour la mise en pratique, appuyée ensuite par une phase de vignettes cliniques en E-Learning, illustrant concrètement la FMC.
Après une période d’un mois, la seconde phase d’audit clinique (réévaluation) sera proposée, en non présentiel, afin de mettre en application les pratiques acquises dans l’activité professionnelle et, le cas échéant, affiner les axes d’amélioration nécessaires, accompagnés par les enseignantes avec le forum de la plateforme de formation.
Questionnaire sur les pratiques professionnelles (avant la formation)
Pré-test
- Objectif : Test de positionnement
- Format : QCM
UNITE 1 EPP en E-Learning
EPP Audit Clinique – Partie 1
UNITE 2 FMC en Présentiel journées Colo-Proctologie de la SNFCP
Séquences FMC
➔ Apports théoriques et applications en pratique quotidienne des recommandations.
UNITE 3 EPP en E-Learning
EPP Méthode vignettes cliniques
UNITE 4 EPP en E-Learning
3 mois après la session présentielle et les vignettes cliniques :